Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 17:43

 

Bonjouuuuuur ^^

Le Bac est enfin terminé et j'attend sagement les résultats ^^ (pas patiemment hein faut pas déconner non plus)

Je reviens avec le nouveau chapitre des Jeux sont Faits  et ... les réponses aux commentaires ^^

 

Absynthe :  ouais bon ok ma blague était nulle je sais mais bon... de nouvelles choses rappliquent et puis des jambes aussi ^^ UN de ses quatres je ferais tout un chap avec le plus de jambes possible rien que pour toi XD Les choses se metten en place et Armance ... ah tu verras XD

Bonne lectuuuuuuuuuure  :)

 

Choco: XD j'ai hésité à le mettre comme ca mais je me suis dit que ca aurais fait trop OOC mais bon tu as raison sur un point ... a toi de voir maintenant ^^

Bonne lecture miss ^^

 

Cindy : Héhé certains on énormement de patience quand ils ont un objectif  ^^ Prend ton temps miss, je suis toujours heureuse de te voir ^^

Bonne lecture  ^^

 

Vacra (je crois XD) : Merci beaucoup et non tu n'as pas les idées tordues loin de là ^^

Bonne lecture ^^

 

Camille : Comme je le disais tu mme fais marrer XD je peux faire ca parce qu'il parait que je suis sadique, armance mate, le type a botte t'as la reponse dans le chapitre, la reponse a la devinette est lors de la rencontre d'isaac et drystan ^^

Merci encore puce ^^

Bonne lecture ^^

 

Arkiyu : Merci beaucoup ^^

Bonne lecture ^^

 

Neliel : Merci beaucoup ^^ C'est vrai que j'ai tendance à zapper les descriptions pour l'action même XD En tout cas merci pour ta remarque quand à l'evolution du style d'écriture, ca me fait très plaisir ^^ #^_^#

Bonne lecture miss ^^

 

Voici le chapitre 13 ^^

Bonne lecture à toutes ^^

 

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C’est un cauchemar …. Ce ne peut pas être autre chose qu’un affreux cauchemar.

 

- Viens là …

 

Recroquevillé dans un coin de la pièce vêtu à peine d’un rectangle de tissu blanc qui peinait à faire le tour des ses hanches, et d’une chaîne en fer lui enserrant la gorge, une silhouette humanoïde luttait pour ne pas pleurer.

 

- Viens ici mon cher, tu sais que je ne te veux pas de mal.

- Voyons … qui de nous pourrais t’apporter ce que tu désires le plus ? Viens ici … c’est. un. ordre.

 

Les froissements sourds d’une chemise qui tombe au sol le firent tressaillir.

 

- Viens là ! Tu ne peux désobéir à un ordre sans en subir les conséquences !

- Est-ce cela que tu souhaites ? L’aimes tu tant au point de la subir plus que de nécessaire ?

- Viens ici, à mes pieds, où tu sentiras à nouveau la douleur du fer, et cette fois ce sera mon nom que je graverais à même ta peau !

- Est-ce ce que tu souhaites ? ou veux tu venir vers moi à nouveau ? Serais je pire que lui ?

 

Il ferma les yeux, essayant de ne pas entendre les deux voix qui tentaient de l’attirer vers elles. Ses jambes repliées sur son torse, ses bras passés autour,  il se balançait d’avant en arrière, son dos frottant régulièrement contre la pierre brut du mur, lui écorchant toujours un peu plus la peau maculant petit à petit les pierres sombres d’un rouge brillant.

La pièce n’était pas très grande, à peine plus qu’un cagibi. Les murs de pierres brutes étaient par endroits couverts de mousse et de lichen, sur le mur du fond, un petit filet d’eau coulait doucement entre deux pierres.

Le sol était lui aussi fait de pierre, posé inégalement et mal taillées, les pierres pouvaient se révéler tranchantes. Les lieux étant faiblement éclairés par une torche de bois pourri qui se trouvait en hauteur, en tout cas suffisamment pour que le jeune homme ne puisse pas l’atteindre.

 

 

- Tu ne veux pas venir ? Préfères tu que je vienne moi-même te chercher ?

- Veux tu vraiment que ses doigts se referment sur ta chair ? Qu’ils parcourent ta peau comme autant de caresses cruelles et violentes ? Veux tu que ses lèvres, si douce et si subtiles, emprisonnent tes paroles et libèrent tes hurlements ? Veux tu qu’elles mordent ta bouche à les en faire saigner ? Veux tu que de son corps il te montre à quel point la douleur t’es devenue insupportable ? Veux tu qu’il te possède encore et encore jusqu’à ce que ton corps épuisé et usé ne puisse plus suivre le rythme et qu’en définitive il  te laisse comme une poupée désarticulée au bon vouloir des passants ?

 

Un gémissement ténu s’éleva et l’un des deux hommes debout eut un sourire satisfait.

 

- Il ne vous désire pas.

 

L’autre l’ignora et s’avança vers le roux qui se tendit quand l’autre s’agenouilla et le prit dans ses bras, laissant un baiser dans son cou, et jouant avec ses cheveux.

 

- Désires tu ses mains qui glissent sur toi, comme si elles ne faisaient qu’examiner un jouet nouvellement acquis ? Supporterais tu qu’elles ne considèrent ce corps que comme un réceptacle où toute manifestation de plaisir serais interdit ? Supporterais tu de n’être qu’une jolie chose, enchaînée à un plafond, nu comme au premier jour, exposé là, parfois utilisé pour parader devant des amis voraces et envieux ? Veux tu oublier jusqu’à a propre existence pour crier et jouir sur commande ? Imagine donc … tout les jours à midi, avec un beau plateau repas, le maître des lieux arrivant, te donnant à manger détacher tes poignets abîmés, puis posant dans un léger tintement la cuillère d’argent sur le plateau, puis dans un gracieux grincement de métal rouillé te ferais tourner sur toi-même jusqu’à ce que ton visage ne se retrouve que face au vide et qu’il puisse se répandre en toute tranquillement au sein de tes entrailles.

- Arrêtez …

- Toi, les yeux dans le vide, légèrement haletant mais sans plus, tout juste bon à sentir la chaleur se répandre, et le liquide glisser le long de tes jambes jusqu’au soir. Parce qu’une fois par jour n’est pas suffisant. Et encore, nous ne prenons pas en compte les jours de colère où lors de réception mondaine. Quel défilé ce serait … Tu imagines, tous ces mélanges immaculés qui t’empliraient comme l’on emplirait un verre de bon vin …

 

Will s’était mis à pleurer contre la peau pâle de Thurim, et sous le regard remplit de colère d’Armance.

 

- Cela vous amuse n’est-ce pas ?

- Ce n’est pas moi qui ai commencé …

- Très drôle, vous n’avez rien d’autre à faire ?

- Pour que vous me le voliez très certainement. Mais plus tard, avec lui de préférence. Vous ne l’aurez pas. Regardez ce visage hanté … il est à moi …

 

Les yeux écarquillés et pleins d’horreur, Will se réveilla en sursaut lorsque l’elfe claqua la porte de sa chambre.

Il se redressa, amenant ses jambes sous lui, et tirant un peu sur sa chaîne.

 

- Viens ici.

 

Il frissonna, son rêve encore en tête mais s’approcha, il ne valait peut-être mieux pas désobéir pour le moment.

Thurim le fit asseoir sur ses genoux face à lui une jambe passée de chaque côté de sa taille.

 

- Tu as envie de retourner avec tes amis ?

 

- Will baissa les yeux, évitant le regard de son maître et ne répondit pas. Une main blanche, lui fit relever la tête mais le regard toujours fuyant, il murmura.

 

- Je l’ignore.

 

Thurim parut pour la première fois aux yeux de Will, surpris. Il pensa qu’avec tout ce qu’il lui avait fait subir, il se serrait enfui en courant à la première occasion comme lors de son marquage.

Marquage qui lui laissant encore un délicieux arrière goût au fond de la gorge.

Plus jamais il ne regardera la salle de bain de sa grand-mère de la même manière.

Se taper un homme lorsqu’il est appuyé contre  un miroir plus grand que votre propre taille, qu’il laisse un nuage de buée se former contre la surface, et que le reflet vous renvoi votre image entrain de le posséder est d’un érotique consommé. Le pire est certainement lorsque l’affaire terminée, sa peau glisse contre le miroir et que vous ne pouvez vous empêcher de le prendre à même le sol dans un gémissement inhumain ressemblant presque à une protestation.

Bref, le sujet principal semble avoir été perdu en cour de route.

Essuyons nos mentons couvert de salive, sortons de nos transes passagères et revenons à nos … perversions habituelles.

 

- Tu l’ignores ? Après t’être enfui ? Après avoir tout fait pou me déplaire, Après m’avoir mis en rogne ?

- Choisissez entre Lucifer et Satan, ce sera la même chose. Quoique l’un aurait un avantage : Drystan.

 

Thurim sourit tristement.

 

- Il suffit que j’achète ton ami, ou que je le fasse mien pour te décider  à rester ? T’ai-je tant brisé que cela ?

- Non. Vous avez juste réalisé ce que je n’avais jamais imaginé. Drystan est tout, je sais que vous allez vous en servir mais je ne suis pas sûr qu’il me laisse rester ici encore longtemps. D’autant que l’homme qui l’accompagne ne semble pas décidé à vous le laisser.

- Tu ne connais pas Jarklore.

 

Le visage de l’elfe s’était fermé à l’allusion au dragon.

 

- Pourtant il …

 - Tais toi ! Jarklore est le genre de créature prête à tout faire pour posséder quelque chose ou quelqu’un mais qui dès qu’il l’a eu s’en débarrasse très rapidement. Soit en la dévorant soit en l’abandonnant nue et vulnérable aux mains d’autres que cela intéresserait.

- Vous dites cela comme si vous l’aviez vécu …

 

Une gifle cueillit les propos de William qui se recroquevilla.

 

- Mon frère était insouciant… et toi tu es beaucoup trop bavard ce soir, je préfère lorsque tu te contentes de gémir et crier le mot maître.

 

 

Thurim caressa les flancs de Will et murmura :

 

- Qu’allons nous te faire ce soir ? T’offrir en guise de hors d’œuvre ou bien te mettre comme notre cher Gaed, dans la salle d’attente pour servir d’en cas ? hm … cela mérite réflexion.

- Je vous en prie …

- Mes clients sont toujours friands de corps jeunes… Gaed à neuf ans mais il n’est pas amusant. Toi en revanche … il ne suffirait que de t’attacher à la surface d’une table, jambes et bras liés aux pieds de la table pour que tu fasses une magnifique attraction …

- Non … ne faites pas ça …

- Pourquoi ne le ferais je pas ? Tu ne veux pas des autres ? Avec un peu de chance l’un de tes amis, viendrais et te prendrais. Ne serais ce pas merveilleux ?

- S’il vous plaît …

 

Thurim grimaça et soupira.

 

- Moi cette idée me plaisait bien … Je voulais admirer ton visage terrorisé… Mais ce soir je me sens d’humeur clémente… quand t’es amis arriveront pour continuer les négociations, tu t’empaleras sur moi. Je me régalerais de leurs visages décomposés.

 

 

Torse contre torse, une paire de jambes pressées autour d’une taille, des mains griffant un dos qui voyait les traces disparaître petit à petit et surtout, des lèvres pressées, ne laissant que peu de temps pour reprendre une respiration déjà bien entrecoupée par des va et viens  profonds.

Leurs ébats ne faisaient que commencer mais le destin peut-être avait décidé qu’il en serrait autrement.

La paire de jambe bottée se décroisa et la silhouette cachée dans l’ombre se leva un léger sourire aux lèvres.

Pas un bruit, sur le tapis, les bottes ne firent. Pas un bruit autour de lui, ses vêtements ne firent.

Il n’y eu qu’un cri de surprise et un de douleur lorsqu’une bougie fut allumée et qu’une voix teintée de moquerie lança :

 

- Cela vous dérange si j’éclaire ? Ca c’est assombri et je ne vois plus très bien vos mouvements …

 

Drystan rep … tenta de repousser le dragon qui lui n’était pas de cet avis. Il enserra, au contraire, davantage le brun contre lui, l’asseyant de toute sa hauteur sur lui.

Dans cette position qui aurait pu être particulièrement agréable mais qui pour l’instant présent était inconfortable pour l’un en particulier.

 

- Jarklore … s’il te plaît lâche moi.

- Tut tut tut attend juste quelques instants…

 

Drystan essaya de bouger mais les deux bras autour de lui l’en empêchèrent.

 

- Vous voulez participer ?

- Non merci, je me contente de regarder, c’est très instructif …

 

Le brun de plus en plus gêné par cette position finit par supplier son amant de faire quelque chose.

Jarklore envoya Armance se faire foutre et reprit son activité sans un regard pour le châtelain resté comme deux rond de flan.

Seuls les bruits des draps et de Drystan lui indiquait qu’en effet les  deux n’avaient pas finit leurs affaires.

 

- Je vous signale que nous devons récupérer Will pas vous permettre d’enfin vous envoyer en l’air…

 

Cette fois-ci, tout aussi agréable que soit son état, Drystan abandonna Jarklore à son sort, se dépêtrant des draps comme il le pouvait, récupérant ses affaires au passage et s’enfermant dans la salle de bain.

 

- Vous êtes un emmerdeur fini et si je n’avais pas une partie de moi à soulager je vous boufferais dans la seconde…

 

 

Quand les trois hommes débarquèrent dans le bureau de Thurim, l’un d’entre eux était passablement frustré, un second inquiet et le troisième se fendait la poire.

Du côté de Thurim, il avait visiblement renoncé à l’idée d’embrocher son jouet devant les yeux de ses invités, quoi qu’il en soit, la gâterie que Will prodiguait à son maître, eut l’effet qu’escomptait l’elfe.

Armance cessa de sourire a son plus grand plaisir.

 

- Je suppose que vous vous êtes senti obligé de nous montrer cela…

- Il m’appartient, j’en fais ce que je souhaite lorsque je le souhaite… vous avez de la chance, vous êtes arrivés un peu trop tôt… vous auriez pu voir à quel point il est obéissant …

 

Drystan s’avança vers Thurim et ne voulut pas regarder Will.

 

- Dites nous ce que vous voulez précisément en échange de Will. Nous vous le donnerons sans concessions. J’en ai marre, je veux retrouver mon meilleur ami et de préférence avant que vous ne le transformiez en zombie.

- Vraiment ?

- Vraiment.

 

Drystan rabroua Armance avant que celui-ci ne puisse dire quoique ce soit. Là, ras le bol.

 

- En échange de votre ami je veux Jarklore, en tant qu’esclave bien sûr …

Par Alexx - Publié dans : Les jeux sont faits ...
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