Jeudi 2 juillet 4 02 /07 /Juil 17:06


Bonjour bonjour me revoila a nouveau héhé profitez en ca va pas durer XD

Réponse aux coms ^^

Cicipouce : Whaa ^^ quel ... enthousiasme XD Ca me fait très plaisir ^^ Je trouve que tu as une bonne manière de résumer ^^
d'ailleurs il ne faut jamais jurer de rien surtout quand je suis aux commandes ^^
Et puis tu vois ^^ Je suis là avec un nouveau chapitre peu de temps après les trois précédents ^^ héhé
Bonne Lecture^^

Absynthe : soit zen mon coeur ca va le faire ^^ Serieux pour le passage de bavage made in Laz' coool ^^
En tout cas merci ^^ BOn je trouve ce chap naze mais bon hein...
Bonne lecture ^^

Choco: j'avais toujours rêvé de coller ca dans une histoire XD C'est chose faites je peux mourir en paix XD Et puis les fautes n'existent pas ce ne sont ques des illusions que ton cerveau te sert XD
Bonne lecture miss ^^

Amanar: Tiens ne serais point une nouvelle tête ^^ En tout cas ravie que ca te plaise ^^
J'aime quand il faut se poser des question c'est as drôle si on sait la fin avant le début dooonc ^^
ET puis pareil que pour cici c'que vous pouvez être pessimistes quand même XD
BOnne lecture ^^

Camille: ouais tu t'es planté dans ton com XD Mais bon il est là et ca fait vachement plaisir ^^
J'espere que la suite va être à la hauteur ^^
Bonne lecture ^^

Mimiec: Héhé moi aussi je l'aime bien Lazarus ^^
Bonne Lecture ^^

Lullaby ; Tu vois ... a peine le dos tourné et je fais mes coups en douce XD
En tout cas merci beaucoup ^^
Bonne lecture ^^

Voici le sixième chapitre d'Histoire d'H2O Bonne lecture à tout le monde ^^

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       - Je vous ai déjà rencontré, je ne sais où mais j’ai déjà vu votre visage.

 

Morwen et Cèlorion se tenaient dans un coin de la salle de détente des gradés. Cette salle était de taille moyenne, rectangulaire, et d’aspect spacieuse.

Au centre, sous un puit de lumière artificiel, deux causeuses et quelques fauteuils se disputaient la place. Au fond, une bulle qui avait pour fonction de simuler des batailles, plus a gauche une jeu d’échec. Morwen aimait bien ce jeu, il n’en avait encore jamais vu de tel. Les pièces flottaient sur un échiquier matérialisé par de petites cases vertes floues. Pas besoin de table ou de quoi que ce soit, on pouvait même se mouvoir à travers le jeu sans perturber la partie, les pièces s’écartant de la trajectoire du joueur tout en revenant à leur place précédente juste après son passage.

Bref le sujet principal n’étant pas le jeu d’échec mais la discussion entre Morwen et son jeune ami albinos.

Tout deux s’étaient retrouvés ensemble après que le Capitaine ai invité le gros de la délégation à visiter le bâtiment de guerre. Et c’est donc poussé par sa curiosité que le jeune stagiaire avait rejoins Cèlorion et qu’il l’avait attiré un peu à l’écart.

A l’écart, c’est vite dit lorsque l’on a deux sangsues aux basques…

 

- Pardonnez moi, mais je doute que nous nous soyons déjà rencontrés. Nous ignorions jusqu’à votre venue, l’existence de votre civilisation. Vous n’avez pas l’air si différent de nous, peut-être juste la morphologie alors.

- Je l’ignore. J’ignore jusqu’à quel point nous pouvons être différent, mais une chose est sure, j’ai déjà vu votre visage quelque part.

 

Cèlorion, sourit, et caressa du bout des doigts la joue de Morwen.

 

- Vous avez un joli visage, si je vous avais déjà vu je m’en souviendrais je pense. Ou alors, peut-être que sur votre planète, quelqu’un me ressemble, je n’ai pas un visage extraordinaire. Je suis … comme vous diriez banal.

- Non… je ne pense pas que vous soyez banal, loin de là…

 

Dans le coin,  à l’abri des regards, Lazarus espionnait les deux jeunes hommes. Il leva les yeux au ciel tellement les paroles qu’il entendait lui paraissaient niaises et stupides. Il secoua la tête mais néanmoins continua à jouer les 007.

Il n’appréciait que très peu cet étranger qui avait eu le culot de tripoter Morwen. Oui d’accord une caresse n’était pas tripoter mais quand même !!

Oh oh… où est-ce qu’ils vont là…

Morwen précédait Cèlorion dans les couloirs, le menant seules les Puissances savent où.

Quoique Lazarus et Mârk qui avait remarqué le manège du Capitaine de l’Antero Vipunen, se doutaient de la destination des deux lascars.

D’ailleurs le Capitaine blond colla un coup de poing dans la paroi du vaisseau, quand la porte des appartements du stagiaire se referma sur son compagnon et lui.

 

- On peut me dire POURQUOI c’est toujours les jeunes éphèbes étrangers qui font craquer les jeunes cons pour qui ont se damnerait !!

- Parce qu’ils ont plus de chance que la moyenne..

- …Mârk… vous vouliez voir Morwen je suppose ? Encore…

 

Tout deux assis sur le lit du stagiaire, ni Cèlorion, ni Morwen n’osait trop ouvrir le bec, jusqu’à ce que Morwen possédant nettement moins de patience que l’albinos, ne brise le silence.

 

- Pourquoi m’avez-vous demandé si l’on ne pouvait pas trouver un endroit plus au calme ?

 

Cèlorion sourit doucement et se tournant vers Morwen, poussa doucement de sa main droite,le torse du blond, de manière à ce qu’il se retrouve sur le dos.

Il s’allongea contre lui et chuchota.

 

- Il semblerait que parmi votre peuple, espionner ne soit pas considéré comme mal.

- Comment cela ?

 

Morwen s’était en partie relevé, ayant prit appui sur ses coudes, la tête tournée vers son « ami ».

 

- On nous espionnait, un homme qui était dans la salle avec toutes les consoles quand nous sommes arrivés.

- Ce devait être Mârk. Il est assez collant …

- Il doit bien vous aimer pour vous coller non ?

- Si c’est le cas, ce n’est pas réciproque.

 

L’albinos sourit encore une fois, Morwen se demanda, s’il ne savait que sourire, bien que cela ne le dérangeât pas outre mesure. De nouveau, il fut attiré en direction des draps, et ne tiqua pas quand l’albinos bascula sur le côté, releva un peu le torse, ses cheveux blancs s’affaissant sur la veste de Morwen,  et lui piqua un baiser.

 

- Je peux savoir ce que vous faites ?

- Je vous montre mon affection.

- Je ne vous connais pas.

- Et alors ?

 

Le jeune stratège regarda le membre de la délégation avec étonnement. Il ne connaissais pas sa civilisation mais il doutait qu’il pu exister un peuple qui ne se souciât pas du fait de ne pas connaître la personne que l’on embrasse voir plus.

Il est certain qu’il n’aurait pas dit non, mais ça aurait été malhonnête, vis-à-vis de Cèlorion certes, mais aussi de lui et d’une autre personne non présente.

 

- Et alors, vous m’embrassez comme si, je …

- Comme si vous me plaisiez. Nous ne sommes pas des étrangers. Nous avons le même corps, le même visage, une même langue, qu’est-ce qui pourrait empêcher le fait que je veuille être avec vous au moins cette « nuit » ?

 

Cette nuit … il avait oublié. Les membres de la délégation dans un souci de ne pas perdre de temps en voyages inutiles entre la planète et le vaisseau, avaient jugés bon de rester à bord pour la nuit.

Soit ils étaient très confiant, soit ils étaient stupides, quoiqu’il en soit, Cèlorion avait semblait-il décidé de passer la nuit entre les bras de Morwen.

Etait-il d’accord ? Peut-être. Seulement… quelque chose le gênait. Il y avait un souci quelque part. Mais où ?

 

- Pas grand-chose je suppose.

- Vous voyez. Vous aussi vous êtes d’accord …

 

Cèlorion l’embrassa à nouveau, faisant glisser sa main droite sur le flanc opposé. Dans un froissement de tissu blanc, il passa au dessus de Morwen, s’asseyant sur son ventre. Il se redressa, et de ses deux fines mains blanches, fit glisser hors du tissu qui le retenait un petit bouton nacré. Sans cette aide pour le soutenir, le tissu désormais lâche, découvrit une épaule blanche et une partie du torse imberbe de l’albinos.

Fasciné le blond fit courir ses doigts sur la peau mise à nue, pendant que lui-même était débarrassé de sa veste d’apparat et de sa chemise blanche.

Morwen sursauta quand un bout de langue tiède et humide  glissa le long de sa mâchoire et que des mains s’aventurèrent à déboutonner et à visiter l’intérieur d’un pantalon noir.

 

- Non, arrêtez.

 

Cèlorion releva légèrement le torse, mais ne s’arrêta pas pour autant.

 

- Pourquoi donc ? Maintenant ce n’est pas nécessaire. Autant en finir.

- Non. Non, je n’ai pas le droit de faire ça.

 

Morwen fit basculer l’albinos sur le côté, descendit du lit, ramassa sa chemise et déguerpit de la chambre sans demander son reste.

Il courra dans les coursives, jusqu’à s’arrêter à bout de souffle près de la salle des machines.

Il réajusta son pantalon et enfila sa chemise sans la refermer.

Il avait autre chose à penser que  sa bonne tenue.

Maintenant qu’il avait quitté la chambre, il ne pourrait certainement pas y retourner de la nuit. Autant chercher qui à bord pourrait l’héberger dans sa cabine.

Kraaken ? Autant demandé à un chien affamé de partager sa gamelle.

Mârk ? Oui bien sûr et se faire violer dans la foulée … il avait déjà assez donné pour ce soir.

Hermöd ? Non, les vieux barbus ronfleur ne devaient certainement pas laisser leur voisin dormir en paix. D’autant que tous lui poseraient des questions.

Il gémit.

Où pourrait-il aller ? Il n’allait tout de même pas aller voir Lazarus. Si ?

 

- Morwen ?

- QUOI ?!

 

Il avait sursauté, et répondu un peu brutalement.

Mais là … il y avait de quoi être sur les nerfs non ?

Mârk … O hasard.

Soit les Puissances lui en voulait, soit il était maudit, ce qui à l’instant même revenait à peu près au même.

Pourquoi avait-il voulut devenir Stratège sérieusement ? Et surtout pourquoi était-il tombé sur ce vaisseau là en particulier ???

Il aurait mieux fait de rester chez lui à ne rien faire il aurait eu moins de problèmes, quoiqu’une mère en rogne sur le dos ….

 

- Qu’est-ce que tu fais là à une heure pareille ? … Et surtout dans cette tenue …

- J’ai égaré quelque chose par ici, je suis entrain de le chercher.

- Dans cette tenue ?

- Je ne m’en suis aperçu il n’y a que quelques minutes lorsque je me déshabillais, et je n’ai pas pensé à me rhabiller correctement. Je ne pensais pas tomber sur quelqu’un en fait.

- Tu veux que je …

- NON ! Je veux dire non, merci c’est bon je me débrouille.

 

Il dépassa Mârk le bousculant au passage, ne remarquant pas qu’il quittait la zone où il était censé avoir perdu quelque chose.

Tanpis c’était décidé, il risquait le tout pour le tout, quitte à se faire arracher les yeux voir même autre chose.

D’une main hésitante il donna trois coups contre la porte en métal devant laquelle il se trouvait.

Dans un discret souffle elle s’ouvrit laissant filtrer un  filet de lumière une teinte plus claire que celle dont était pourvue le couloir.

 

- Morwen ?

 

Le stagiaire lut de la surprise dans les yeux de son vis-à-vis. Ce n’était pas franchement dur non plus d’être surpris de trouver devant sa porte une jeune stagiaire essoufflé, la chemise défaite laissant à la vue de tous un torse imberbe, plat et légèrement musclé (le sport il n’y a que ça de vrai), et gêné de se trouver là à une heure aussi tardive.

 

- Tu veux rentrer ?

- S’il vous plaît oui.

 - Viens.

 

Il entra dans la pièce familière avec un profond soulagement sous le regard toujours surprit de son hôte.

 

- Que s’est-il passé ? Mârk t’as mis le grappin dessus dans une coursive sombre et déserte ?

- Non, c’est pas loin de ça mais ce n’est pas la bonne personne.

- Expliques toi.

 

Morwen grimaça et fit pris d’un doute. Devait-il vraiment lui raconter ça ?

Il n’en savait trop rien, mais finit par lâcher le morceau se disant qu’advienne que pourra.

 

- Attend, attend, je n’ai pas bien compris. Pourquoi êtes vous allé dans tes appartements ?

- Mârk nous espionnait, il voulait un endroit plus calme où personne ne pourrais nous écouter.

- Tu es naïf, mon pauvre ami.

- Je viens de m’en rendre compte.

 

Un court silence s’installa, l’un réfléchissait sur ce qu’il venait d’apprendre, l’autre sur la manière qu’il aurait de ne pas mourir de honte demain. La meilleure solution serait certainement de s’enfermer dans le bureau de Kraaken et de bosser sur les plans qu’il lui avait confiés.

- Je peux rester dormir ici ?

 

Il croisa un regard surpris. Décidément, lui qui croyait qu’il n’aurait pas eu tant de mal que ça à se faire héberger.

 

- Oui bien sûr. Prend le lit, je dormirais dans un fauteuil ou autre.

- Non. Je me suis invité donc fais comme d’habitude. Je me débrouillerais.

- Tu sais, pour éviter ce genre de dilemme tu n’as qu’à venir dormir avec moi. Après tout …

 

Morwen sourit. Il aurait dû s’en douter après tout, mais il ne refusa quand même pas.

 

- Merci.

- Mais je t’en prie.

 

Morwen tout comme son hôte, se déshabilla et se glissa entre les, draps frais.

D’abord proche du bord, il accepta avec un sourire l’invitation de deux bras tendus vers lui.

Calé contre un oreiller vivant ravi, la nuit pouvait réellement débuter.

 

- Merci Lazarus.

Par Alexx - Publié dans : Histoire d'H2O
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