Hello ^^
Après un mois d'absence du aux vacances je suis de retour avec un nouveau chapitre ^^
J'espère qu'il vous plaira ^^
Reponses aux commentaires :
Lullaby : héhé en guise d'apero ?? je ne sais pas si ça étanche ta soif mais je vois que la suite te met l'eau à la bouche ^^ Réponse dans le chapitre sept ^^(au fait file moi l'adresse de ton site tu l'as zappé ^^)
Bonne lecture ^^
Camille : ^^ Morwen a un don particulier pour n'être nteressé que par ce qui répond à certains critères bien définit après ... Mârk a encore un rôle à jouer, si on l'éttripe maintenant je fais quoi moi hein XD
Bonne lecture miss ^^ Contente que mes chap te plaisent ^^
Absy : #^_^# tu me fais tellement rougir mon coeur que je pourrais en fondre ^^ Lazarus comme tu l'as deviné n'est pas un rustre même si au premier abord il en a tout l'air ^^
Pour ce qui est du chapitre extra ca c'est a toi de me le dire ^^
BOnne lecture ma chérie :)
Cicipouce : XD très ... joyeux ton comm ^^
Bonne lecture ^^
Amanar : ^^ tu poses peut-être plus de questions qu'autre chose mais au moins dans celui là tu auras les réponses ^^ (enfin une partie XD)
Bonne lecture ^^
Chocomenthe54 : XD TOi t'as l'oeil toi XD
Bonne lecture miss ^^
Et voilaaaa
Bonne lecture a tout le monde en esperant que ce chap de retour de vac vous plaise ^^
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Quelle bêtise … Mais alors … S’il pouvait il se cognerait le crâne contre les murs.
Qu’est-ce qui lui avait pris d’aller demander asile à ce qui était certainement le plus grand pervers de l’Imperium.
Certes, Lazarus aimait comme il le disait lui-même, compter fleurette aux jeunes innocents si peu récalcitrants, ceci dit, il n’en était pas moins respectueux de leurs avis.
S’il s’avérait que le mot non apparaisse dans la phrase, Lazarus laissait couler.
Frustré certes mais bon il n’allait pas non plus violer un des espoirs de l’Imperium…. Les soucis il en avait déjà assez avec son cousin.
Et puis Morwen était venu de son plein gré, personne ne l’avait forcé … C’est d’ailleurs cet aspect-ci de la situation qui ravissait le Capitaine de l’Antero Vipunen.
Quelle joie de se dire que l’objet de toutes ses convoitises reposait là, entre ses bras, à moitié nu, le visage calme et serein, si près de son propre visage, qu’il n’aurait qu’à légèrement se pencher pour l’embrasser en toute impunité…
Pour un peu, il en aurait fait un pied de nez à cet enquiquineur de Kraaken. Lui et ses grands airs… Il lui avait parié la moitié de son stock de pots de confiture à la cerise, qu’il ne parviendrait jamais à avoir quelque chose de Morwen, qui vienne de son propre chef. Lazarus était certain que le blond n’envisageait même pas l’idée, qu’il puisse tenir ainsi le jeune stagiaire entre ses bras …
Fufufufufufufufufu …..
Lazarus sourit et se dit que s’aurait été vraiment de très mauvais goût que de profiter ainsi de cette jeune beauté.
Tanpis …son stock de praliné aux kiwis du sud irait au blond professeur de stratégie.
Pfff… ce qu’il ne fallait pas faire pour un peu de bonheur extatique comme celui-ci …
Lazarus raffermit sa prise sur la taille de son cadet alors que celui-ci commençait à s’agiter dans son sommeil.
De l’autre côté de la cloison, un gradé qui devait avoir un peu trop bu, et le sommeil un peu trop lourd, ronflait comme un bien heureux.
Le Capitaine se dit que oui, en définitive, la nuit n’était pas si mauvaise que ça.
Si la nuit passée avait été on ne peu plus agréable, le réveil lui en revanche, fut … un peu plus agité.
Morwen se réveilla dans une chambre autre que la sienne, dans des bras d’homme qu’il ne connaissait que trop bien et surtout, surtout … à moitié à poil.
C’est certainement ce dernier facteur qui l’inquiéta le plus car oui il y avait de quoi s’inquiéter.
- Lazarus ?
Pas de réponse. Il devait bien dormir cette espèce de nougat. Pas étonnant en fait.
Morwen le secoua un peu, réussissant en fin de compte à le faire émerger.
- Tiens… mes rêves deviennent enfin réalité. Je devrais peut-être supplier les Puissances un peu plus souvent …
- Lazarus… ne rêve pas trop non plus.
- Mon rêve ne s’est pas réalisé ? Tu n’es pas venu m’offrir ton corps pour une nuit de luxure et de débauche sans limites aucunes ??
- Non.
- … Je hais les Puissances.
Morwen soupira.
Soyons positif, au moins certaines choses même dans les cas les plus étranges, ne changeaient pas.
- Tu devrais peut-être rester ici aujourd’hui. Je ferais dire par le médecin de bord à Kraaken que tu es indisposé pour la journée.
Morwen tiqua. IL doutait grandement du fait que Lazarus ce soit subitement transformé en âme charitable et qu’il lui proposait ceci en tout bien tout honneur.
Il soupçonnait un moyen détourné de pouvoir en profiter, ce qui était déjà plus dans les cordes du blond.
Il se demandait déjà ce que le Capitaine allait lui demander en retour.
- Je suppose que tes services ne sont pas gratuits…
- Voyons Morwen, je ne te savais pas amateur de ce genre de choses, mais il est vrai que si tu me le demandes gentiment … je pourrais faire quelques efforts …
La fin de la phrase du blond s’était éteinte dans le creux du cou du jeune stagiaire.
Lazarus s’était nettement penché vers son cadet pour étouffer dans l’œuf la négation véhémente qu’il préparait.
Son étreinte se resserra arrachant au brun un petit cri étranglé lorsque les lèvres de Lazarus le quittèrent.
- Men …. Mentir pour un stagiaire c’est déjà gros mais en plus arriver à faire avaler la pilule à Kraaken le tout au nez et à la barbe du Capitaine Hâti …
- - A défaut d’autre chose, une pilule suffira pour le moment …
Morwen écarquilla les yeux et rougit comme une midinette provocant un rictus moqueur chez le blond.
- Je sais je sais, il faut un courage hors du commun, une prestance digne du plus gra…
- Il faut surtout être suicidaire.
Le jeune stagiaire, se leva et attrapa ses affaires pour se rhabiller. Après avoir lutté avec ses bottes d’apparat, il fila dans la salle de bain, se passer un coup d’eau sur le visage, histoire de ne pas avoir une trop sale tête.
- Dis moi … si Mârk se pointe, j’ai ton autorisation pour le faire rager ?
- Depuis quand tu t’occupes de ce genre de détails ?
Lazarus s’approcha de Morwen qui était face au miroir. Il entoura la taille du plus jeune de ses bras, se collant de manière possessive contre lui.
- Pure politesse, je voulais être sûr que toi aussi ça te collerait en pétard…
Morwen leva les yeux au ciel et tente de se dégager pour se diriger vers la porte des appartements de Lazarus. La seule chose qu’il parvint à faire face à la poigne du blond c’est se retrouver face à lui coincé contre le lavabo.
- Où comptes tu aller ainsi ?? As tu oublié que tu es officiellement malade ?
- Et les malades sont censé se coucher dans leur lit, pas dans celui d’un potentiel pervers intéressé.
Il ponctua sa tirade d’un charmant sourire et surpris Lazarus qui le relâcha brusquement, en passant simplement le bout de ses doigts sur la partie la plus charnue de l’anatomie de son vis-à-vis. Il en profita d’ailleurs pour le laisser en plan.
- Toi tu vas voir quand je t’aurais mis la main dessus…
Morwen rejoignit prudemment ses propres appartements, prenant soin de ne pas se faire remarquer.
S’il tombait sur Mârk, il l’aurait étranglé sur le champ.
Arrivé devant sa porte, il hésita. Et si Cèlorion était toujours là ? Après tout il ignorait l’heure et ne savait pas si la délégation était repartie ou non.
Il souffla doucement pour se vider les poumons et calmer ses nerfs, puis actionna la poignée ouvrant à moitié la porte.
Vide.
La chambre était vide … et lumineuse.
Il poussa un soupir de soulagement et entra.
Il ferma la porte, éteignit l’hologramme qui ouvrait sa fenêtre sur une des baies de Vanaheim lors d’une après midi ensoleillée pour plonger la pièce dans une pénombre réconfortante et se déshabilla.
Il se coucha et n’eut même pas le temps de tendre le bras vers son journal magnétique que sa porte s’ouvrait à la volée.
- Je peux savoir e qui t’arrives ? Hier tu es en pleine forme et aujourd’hui … tu restes au lit ! Je peux savoir ce qui t’indispose ?
Le brun était abasourdi. Visiblement Lazarus avait, malgré tout, prévenu le médecin de bord et vu l’attitude agressive de Kraaken, ça n’était pas du tout à son goût.
Pourquoi ça ne l’étonnait pas ? Soit il mentait, soit il lui racontait la vérité. Après ce n’était pas n’importe qui, qui lui faisait face. Cacher la vérité à Kraaken, exposait certainement à de longues et douloureuses réprimandes s’il venait à le découvrir … le choix était donc facilement fait …
- Depuis quelques jours je traîne un mal de crâne impossible et une fatigue constante. L’arrivée de la délégation à été le coup de grâce.
- Tu sais à quoi est dû ton état ?
- Je l’ignore, peut-être au fait d’être constamment en compagnie du Capitaine de l’Antero Vipunen et de Mârk sans compter mes heures de sommeil très raccourcies ses derniers temps.
- Je te l’accorde, Lazarus est fatiguant. Prend ta journée, repose toi. Demain matin Vrânken te refera faire une simulation. Si tu te plantes royalement tu seras bon pour un mois de gavage. Je te ferais bouffer de la tactique comme jamais.
Kraaken le salua et sorti de la chambre. Morwen s’endormit comme une masse, ne se rendant pas compte que c’était bien la première fois que Kraaken le saluait et ne l’insultait pas sous couvert de mots habiles.
D’autant que pour une fois il manifestait un minimum d’intérêt pour son cas.
Il passa sa journée à dormir, se réveillant quelques fois à peine deux ou trois minutes histoire d’être rassuré que non Cèlorion n’avait pas remis les pieds dans sa chambre.
Vers 15h57 de l’heure de bord, quand à nouveau il s’éveilla brièvement, il pu voir qu’un visiteur blond débraillé, s’était endormit sur une chaise à côté de son lit.
Le lendemain en revanche, le visiteur avait disparut mais une pile de vêtements propres le remplaçait.
Morwen se leva, s’habilla et passa par la case salle de bain, se demandant si Lazarus l’aurait rejoins s’il avait été ici.
Secouant la tête, se morigénant, il préféra sortir de la pièce pour aller manger. Arrivé à la cantine du vaisseau, il fronça le nez et renonça à avaler quoique ce soit de la mâtinée.
Ce ne fut d’ailleurs que dix minutes après qu’il ait fait demi tour devant le double battant du self que le Capitaine du Betsla arrivait dans la salle de détente pour la simulation du jour.
Avec un sourire Vrânken salua son cadet et tout deux s’installèrent. Quand la simulation fut mise en route, deux silhouettes se glissèrent dans les fauteuils adjacents pour profiter du spectacle.
- N’oubli pas mon cher que tu me dois toujours ton stock de pralinés aux kiwis du Sud.
- Ouais ouais je sais. Et si j’arrive a l’embrasser d’ici ce soir ça peut annuler le résultat ?
- Tsss ..
- Pfff … Mes pralinés …
Dans la bulle, la représentation des planètes sous la coupe de l’Imperium était parfaite. Le Capitaine entra comme la fois précédente une série de chiffres et de lettres qui programmèrent un mode combat. Morwen lui avait juste sorti sa sphère bleuâtre.
- Tu es prêt ?
- Plus ou moins.
- Allons y alors.
Vrânken lança la bataille et Morwen enclencha le mécanisme de la sphère.
- Un calculateur ! Mais c’est de la triche !
- Lazarus la ferme.
Kraaken observait son jeune élève. Il ne lui avait jamais fait faire de simulation lui-même et voulait voir comment le brun s’en sortait.
- Passez l’aile droite en défense et envoyez deux vaisseaux en reconnaissance furtive.
- Tu as retenu quelque chose de ta dernière défaite je vois.
- Je n’aime pas perdre. Leur aile droite se déplace, reculez le vaisseau principal et envoyez l’aile gauche en attaque.
- Elle ne possède que des munitions de type Thêta.
- Et alors ? Les thêta sont doté de capteurs thermiques, ils ne se dirigent que vers les obstacles possédant un dégagement de chaleur du à une activité thermique interne.
- Justement, et les planètes alentour ? Elles n’ont pas d’activité thermique interne.
- Revoyez vos cours, Ohwnyë, Valterk et Suomi, les planètes qui nous entourent sont toute les trois mortes. Elles sont froides donc n’intéressent personnes et certainement pas les munitions de type Thêta.
Kraaken sourit, Morwen était une quiche totale et complète en Histoire des guerres spatiales mais il fallait avouer qu’en dehors de ça il retenait pas mal de choses.
- Lazarus enlève ta main de là et concentre toi sur le brun qui se démène avec ton cousin.
Au bout de 2h45 la simulation prit enfin, fin et les deux blonds s’étaient éclipsés.
Morwen avait encore perdu la bataille mais au moins, cette fois il n’était pas tombé dans un piège stupide.
Vrânken lui donna d’ailleurs sa journée ayant eu vent de sa « fatigue » de la veille. Il ne voulait pas non plus épuiser le jeune homme plus que de nécessaire.
En rentrant dans ses appartements, Morwen fit un petit détour, ses pas finissant par le mener devant la porte des appartements de Lazarus.
Il resta debout devant pendant plusieurs minutes se demandant si le blond Capitaine était vraiment intéressé ou s’il était ainsi avec tout le monde.
Il secoua la tête et secoua la tête. Au moment où il allait tourner les talons, un corps l’enlaça par derrière.
- Entre …
Il se figea. La voix à son oreille était douce, câline et on ne peu plus masculine.
- Entre Morwen.
Sa main hésitante se posa sur la poignée et l’abaissant doucement il se retrouva en moins de deux dans les appartements du blond.
Le tenant par une manche, Lazarus fit asseoir le jeune sur un fauteuil en face de lui .
- La délégation est revenue. Cèlorion ton cher ami est avec eux.
Morwen se crispa et Lazarus le rejoignit s’installant sur l’accoudoir.
- Je traîne depuis quelques jours ici et mon rôle, ma mission ne va pas tarder à commencer.
- Je croyais que tu étais là en tant que soutien militaire.
- Pas que. Tandis que toi, Kraaken et mon imbécile de cousin, allez vous diriger vers Asrobia, moi je vais ramener la délégation sur Vanaheim.
- Tu pars quand ?
- Tu tiens tant que ça à te débarrasser de moi ? Morwen … tu me brises le cœur.
- Et toi autre chose. Répond moi Lazarus.
Le Capitaine de l’Antero Vipunen eut une moue ennuyée. Il se leva, s’agenouilla devant le brun et fit remonter ses mains le longs des cuisses de Morwen.
- Lazarus. A quoi tu joues.
Le blond attrappa son cadet par les hanches et le fit glisser jusqu’au sol non sans rencontrer une certaine résistance.
Morwen sous lui, il en profita pour s’asseoir sur son ventre déboutonner le haut de sa chemise, sa veste étant posé sur le dossier du fauteuil.
- Lazarus…
- C’est mon prénom. Morweeeen … cesse de gigoter ou je n’y arriverais jamais …
- C’est le but.
- Ne sois pas stupide tu veux.
Le chemise ouverte, les lèvres de Lazarus explorant sa peau, Morwen n’en menait pas large, moins encore lorsque Lazarus s’attaqua à son pantalon.
Le brun lui attrapa les poignets le coupant dans son action.
- Je ne veux pas d’un autre Cèlorion, j’ai déjà donné.
- Morwen, ais je une tête de fantôme et l’intention de te baiser en n’ayant pas le moindre remord à t’abandonner ensuite.
- C’est à toi de me le dire …
Lazarus secoua la tête mais ne laissa pas Morwen partir. Il le coinça sous lui, ayant réussi les Puissances seules savent comment, à jarter bottes et pantalon au loin.
Il ne restait au jeune que sa chemise … et encore.
Lazarus voyant que Morwen n’avait plus vraiment l’intention de partir en courant, se releva a moitié, s’asseyant sur le sol et attirant Morwen contre lui, lui faisant passer ses jambes autour de sa taille.
Le stagiaire s’était laissé hypnotiser par les baisers de son aîné et ne souhaitait pas que ses mains qui le caressaient, le quitte.
Lazarus, prépara Morwen du mieux qu’il pouvait mais il n’eut pas l’occasion de mener son action jusqu’au bout… trois coups furent donnés à la porte lorsqu’il s’apprêtait à se couler en Morwen.
- QUOI !!!
- Le Capitaine Hâti vous demande dans ses appartements.
- J’ARRIVE !!!! Il m’emmerde celu…
Un hoquet de surprise l’interrompit. Son cadet avait repris les choses en mains et s’étant assuré l’intérêt de Lazarus à son égard, se laissa doucement glisser contre le blond.
Dans un lent bruit de succion qui fit fuir le messager de Vrânken, Morwen commença à se mouvoir, Lazarus étouffant son plaisir sur la peau pâle de son amant.
Le rythme du brun prit de la vitesse mais peut-être pas assez pour le blond qui le renversa contre la moquette et qui imposa sa propre cadence qui sembla mieux faire réagir le stagiaire que tout ce que Lazarus aurait pu espérer.
Le simple voile de plaisir qui était tombé sur le regard de Morwen et la manière dont à chacun des assauts du blond sa corps se courbait constituaient une ode à l’hédonisme que Lazarus ne su ignorer.
Lorsqu’il se libéra enfin, il ne su s’il pouvait vraiment laisser son cadet ici sans avoir envie de l’enlever sur le champs.
Quoiqu’il en soit, il du se résigner, plusieurs minutes après à se lever et se rhabiller convenablement.
Son cher cousin l’attendant, il ne devait pas non plus être trop en retard. Il s’excusa auprès de Morwen et partit.
Le brun se releva et alla se doucher. Il se rhabilla avec un sentiment de mal être et fit ce qu’il y avait certainement de mieux à faire.
- Qui est-ce ?
- Le stagiaire Morwen Monsieur.
- … Entre.
Il poussa la porte et pénétra dans le bureau plus en bazar que jamais.
- Que veux tu ?
- Avez-vous du travail pour moi Monsieur ?
Le blond surpris, regarda un instant son élève et sembla apercevoir une tache rougeâtre s’étendre à la base de son cou, là où le col mao ne pouvait la dissimuler qu’à moitié.
- Tri les cartes du Consortium de Bashrm
- Bien Monsieur.
Morwen le remercia silencieusement de tout son cœur. Il travailla toute la fin de la journée ne se présentant pas au self aux repas de midi ou au dîner. Ce ne fut que le soir vers 23h que Kraaken finit par lui apporter un plateau repas bien garni.
- Mange tu vas finir par être plus maigre qu’un squelette. Je suis sur que le Colonel Baldr le déplorerait.
- - Je n’ai pas très faim et Mârk peut bien aller voir les Puissances … j’en ai rien à cirer.
- Mange ou je te colle de corvée ménage ici.
Morwen grogna mais commença tout de même à manger. On estomac se révoltait à cette idée mais il n’avait pas vraiment le choix.
- Les stratèges sont une denrée rare Morwen, peu d’entre tes camarades parviendront à « survivre » à leurs trois années de stage. Je ne veux pas que tu t’imagines que je vais te laisser abandonner sur un coup de tête. Si dans trois ans tu n’es pas diplômé … crois moi que l’enguelade que tu te prendras n’auras rien à envier aux tempêtes magnétiques.
Kraaken eut un sourire amusé devant la mine ébahie de Morwen. Il n’ignorait pas ce qui s’éait passé, le matin même, il lui avait suffit de menacer Lazarus avec les bons instruments… après …c'était entre lui et sa conscience...
Il frappa dans ses mains et fit signe au stagiaire d’approcher.
- Morwen, je te présente la planète Asrobia et ses sept lunes. C’est notre prochaine destination. A partir de là nous explorerons l’espace attenant sur une distance de trois galaxies et une période de 28 mois.
- Nous allons près du Soleil Bleu d’Erthd ?
- Oui. C’est là même que notre expédition se rend. … Génial n’est-ce pas ??
Les deux stratèges étaient penchés sur une carte, le sourire aux lèvres quand la navette dans laquelle se trouvait Lazarus décolla.
Par la baie de la navette et celle qui donnait sur le bureau de Kraaken, le Capitaine de l’Antero Vipunen pu jeter un dernier coup d’œil aux deux stratèges avant de se tourner vers l’un des membres de la délégation.
Il le prit par les épaules et lui sourit curieusement avant de lui souffler dangereusement :
- Alors c’est toi Cèlorion …
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